HACRIDE

Le groupe Hacride se forme en 2001 à Poitiers et pratique à l’époque un Death Metal technique influencé par des groupes à la frontière du death metal tels Meshuggah et Strapping Young Lad.
En 2003, le groupe enregistre sa première démo intitulée Cyanide Echoes , produite par Matthieu Metzger. Le groupe est alors constitué de Samuel Bourreau au chant, Adrien Grousset à la guitare, Benoist Danneville (ex-Latrodectus) à la basse et Olivier Laffond à la batterie.

Hacride intègre bientôt le collectif Klonosphere qui comprend les groupes Klone,Anthurus d’Archer, Mistaken Element,Trepalium et Grotesque Through Incoherence.
Cela lui permet alors de décrocher des premières parties de concerts, pour Gojira et Loudblast notamment.
En 2005, le groupe apparaît sur la compilation Revolution Calling du label Listenable Records avec le morceau The Daily Round. La même année, le groupe sort son premier album sur le même label, Deviant Current Signals, enregistré par Franck Hueso.
Hacride part ensuite sur les routes de France et de Suisse lors des tournées ‘Deviant tour I and II’.

Le second album Amoeba, sort en février 2007. Cet opus est enregistré à L’Autre Studio, co-produit par le groupe et Frank Hueso, Il inclut notamment un morceau mélangeant flamenco et metal, Zambra, qui n’est autre qu’une reprise du groupe Ojos de Brujos interprétée avec des musiciens de ce groupe.

En 2009, Hacride présente son nouveau travail : « LAZARUS », un album épique au son rock et naturel, gorgé de morceaux torturés qui oscillent entre le rageur et le progressif, entre le révolté et l’atmosphérique. Lorgnant aussi bien du côté oppressant de Tool que du côté polyrythmique de Meshuggah, Hacride s’aventure avec brio vers des horizons plus épiques et aériens à la Opeth.
« LAZARUS » prouve que les nombreuses prestations live, toutes plus impressionnantes les unes que les autres, ont renforcé cette formation déjà hors du commun.
Avec ce troisième opus, débutant par un morceau de 15 minutes, Hacride ose ici un album novateur, invitant l’auditeur à un voyage unique qui ne le laissera, sans nul doute, pas insensible, tant la technique est au service de chaque morceau sans plonger dans la démonstration.